D2F – Aminata Doucouré : “De beaux objectifs avec le Sambre-Avesnois !”

8 mai 2023

L’ancienne arrière du Havre arrive cet été au Sambre-Avesnois Handball. Motivée et déterminée : découvrez ci-dessous notre nouvelle joueuse !

Bonjour Aminata, peux-tu te présenter en quelques mots ? 

Bonjour tout le monde ! Donc Aminata Doucouré, j’ai commencé le handball à l’école de handball du club de Villiers-sur-Marne, où j’ai connu toutes les catégories jeunes avant d’accéder au Pôle de Châtenay-Malabry.

Cette année-là j’évolue en N3 avec Villiers-sur-Marne puis la seconde année en N1 au Issy Paris Hand. En 2011, je retourne à Villiers pendant un an avant de rejoindre la Stella Saint Maur en N1 pendant deux saisons. Puis, en D2, grâce à la montée du club, la troisième année.

En 2015, je vais directement à Fleury, où je découvre l’Élite du handball féminin français : j’ai même découvert la Ligue des Champions. L’année d’après, direction Yutz où je fais la connaissance de Sabrina (Abdellahi). Je reste un an là-bas, de même qu’à Epinal, Lomme et Serris. En 2020, direction Le Havre. 

Dans ce club du Havre, tu montres beaucoup de bonnes choses … 

Clairement. Je me suis conditionnée pour jouer au top dans cette équipe. J’ai apprécié jouer au Havre avec notamment un vrai groupe, soudé. On a fait de belles choses, notamment en 2021 où l’on rate la montée en Première Division au dépend de Celles-sur-Belle. C’était trois belles saisons abouties dans un club qui me correspondait.

Comment peux-tu te présenter ? 

Je suis plutôt quelqu’un qui aime bien défendre. Ensuite, j’aime le duel et j’aime jouer avec les ailières et le pivot. Je peux tirer de loin.  

Un mot sur le Sambre-Avesnois ? 

Je les ai affronté récemment et ce fut difficile. Elles ont très bien défendu, notamment sur mes attaques. Sabrina m’a dit beaucoup de bonnes choses sur le club. Elle est arrivée en 2018, cela veut dire beaucoup et c’est bon signe. 

Tu es aussi internationale Guinéenne ? 

Oui, il n’y a pas de sélection féminine du Mali. Cela fait deux ans que je suis avec la Guinée. Je n’ai pas disputé la CAN cette année, j’avais besoin de me retrouver après ma blessure l’an dernier. 

Qu’est ce qui t’a séduit dans le discours du Manager Général, Clément Petit ? 

Clément, je le connais depuis longtemps. C’est un Parisien comme moi (rires). Non mais les objectifs sont clairs, la montée. J’ai aussi la possibilité d’évoluer dans mon double projet. J’apprécie aussi les supporters du club. On les entend crier « Sambriennes », j’adore. Sans ce type de soutien, c’est compliqué. On pourra compter sur eux ! 

En dehors du handball, j’ai vu que tu étais fan … de photo ? 

Oui, c’est une passion. En fait, je suis une amatrice de mode, j’aime bien prendre le temps d’aller faire du shopping et de bien m’habiller. Dans le handball, on est souvent en survêtement mais il faut aussi être super féminine. Avec le photographe du Havre j’ai enchaîné les “shooting”, j’ai adoré ça.

J’ai pu voir que la Sambre-Avesnois était remplie de beaux endroits, comme la forêt de Mormal, le Val Joly, ses monuments. Ça me plait  !